Notre-Dame brûle (2022) |   | film précédent |
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| Synopsis | | Ce long métrage de Jean-Jacques Annaud reconstitue heure par heure l'invraisemblable réalité des évènements du 15 avril 2019 lorsque la cathédrale subissait le plus important sinistre de son histoire. Et comment des femmes et des hommes vont mettre leurs vies en péril dans un sauvetage rocambolesque et héroïque. |
| | Ce que j'en dis ! | Avec cette nouvelle Guerre du feu, Jean-Jacques Annaud a mis les moyens dans ce nouveau film qui n'est pas une enquête - on ne saura pas trop d'où est parti le feu, ni s'il est criminel ou accidentel… - mais une sorte de docu-fiction, avec des images d'archives et des scènes jouées par des comédiens et des figurants ; un film qui relate les faits et uniquement les faits. Dit comme ça, ce n'est pas très engageant pour avoir envie de voir Notre Dame brûle. Cependant, n'oublions pas les qualités indiscutables de Jean-Jacques Annaud qui, à près de quatre-vingt printemps, possède encore des ressources indéniables de réalisateur et arrive à nous captiver - même si on connaît tous l'événement et son dénouement - avec un sacré suspense et un sens du lyrisme qui nous tiennent en haleine jusqu'à la fin.
JLS - 20/01/2023 | |
| | Pour pouvoir être le plus immersif possible, la cathédrale fut reconstruite en partie à l'échelle 1, c'est-à-dire en taille réelle, pour les nécessités du tournage. Ces décors - en extérieur ou en intérieur - seront pour certains d'entre-eux brûlés au cours du tournage. C'est d'ailleurs l'une des caractéristiques du film car les flammes filmées sont vraies. Le réalisateur avoue dans une interview que la séquence la plus complexe à filmer durant le tournage fut celle de l'effondrement de la flèche. Il a fallu reconstruire tout une partie du beffroi puis lui mettre le feu dans un studio. Même préparé depuis plusieurs semaines, le tournage d'une scène comme celle-ci restait un moment dangereux et nécessitait de tourner en équipe réduite, costumée de scaphandres de protection. Cette séquence fut d'ailleurs tournée en une seule prise sous douze angles de caméras différents ; les caméras étaient dissimulées dans des crash box, capables de protéger le matériel audiovisuel.
source Wikipédia |
| | | | Acteurs | | Samuel Labarthe, Jean-Paul Bordes, Mikaël Chirinian, Jérémie Laheurte, Dimitri Storoge ... |
| Réalisateur | | Jean-Jacques Annaud |
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