Au revoir là-haut (2017) |   | film précédent |
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|  Synopsis | Novembre 1919. Deux rescapés des tranchées, l'un dessinateur de génie, l'autre modeste comptable, décident de monter une arnaque aux monuments aux morts. Dans la France des années folles, l'entreprise va se révéler aussi dangereuse que spectaculaire... |
| |  Ce que j'en dis ! | Au revoir là-haut mélange avec intelligence et subtilité une histoire d'amitié romanesque et une vérité historique en y ajoutant de la poésie, un aspect pédagogique intéressant et une belle dimension onirique. La reconstitution historique est remarquable, tout autant que les costumes, les décors et les nombreux masques. L'interprétation des comédiens est excellente et la mise en scène l'est tout autant. Albert Dupontel est, à mon avis, dans le top 5 des meilleurs réalisateurs du cinéma français actuel.
Et même si, comme le dit Pierre Lemaître - auteur du livre dont le film s'inspire -, Albert Dupontel a réinventé plus de la moitié des scènes, Au revoir là-haut se présente comme une adaptation fidèle du roman homonyme, prix Goncourt 2013.
JLS - 01/03/2018 | |
| Ce qui est intéressant dans l'affiche du film, son excellente qualité graphique mise à part, c'est le clin d'oeil que fait Albert Dupontel au « Kilroy was here », le célèbre graffiti apparu pendant la Bataille de Normandie en 1944. Ce graffiti a été largement utilisé par les troupes américaines. En effet, de nombreuses mains anonymes se sont amusées à écrire et à dessiner « Kilroy was here » dans les endroits les plus incongrus, les plus inaccessibles ou les plus risqués, faisant ainsi une sorte de pied de nez aux soldats allemands. |  |
| | Mais qui était donc Kilroy ? Après guerre, un concours a été lancé par la Transit Company of America pour retrouver l'auteur des graffitis d'origine. Une quarantaine de personnes se seraient présentées mais c'est James J. Kilroy, inspecteur sur les bateaux de l'armée - qui laissait une trace de son passage en salle des machines en écrivant son nom à la craie -, qui a gagné le concours et remporté le lot : un authentique wagon de tramway. On pense que c'est James J. Kilroy qui est à l'origine de l'expression, l'utilisant lors de ses vérifications de navires au Chantier naval Fore River de Quincy. source Wikipédia |
|  | |  Acteurs | Nahuel Perez Biscayart, Albert Dupontel, Laurent Lafitte, Niels Arestrup, Émilie Dequenne, Mélanie Thierry, Héloïse Balster, Philippe Uchan, André Marcon, Michel Vuillermoz ... |
|  Réalisateur | Albert Dupontel |
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